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Bonjouuuur
après un long moment d'absence me voici, bon j'ai du perdre tous mes (très rares) lecteurs en route mais j'ai beaucoup de mal à tenir le blog en étant dans mes études, mais je vais essayer de faire mieux, et j'ai très envie de participer à d'autres swaps, car celui d'Asie ou d'ailleurs est génial, bien que je sois une mauvaise élève.
J'ai reçu mon deuxième colis sur le thème d'Afrique, superbe, avec : un triptyque, un marque page, une salamandre et une petite poche en tissu from Sénégal, et du chocolat.
Merci beaucoup Virginie, le mien arrive, encore un tout petit peu de patience!!!
Et je suis vraiment désolée pour les autres participantes de mon absence, mais je suis là :)
Voilà la photo du colis Afrique que j'ai reçu :
Je remets un article sur mon pauvre blog qui est délaissé, études obligent ...
Mais là je prends un peu de temps pour celui-ci; je m'étais inscrite à ce swap, Swap d'Asie ou d'ailleurs ... car l'idée même du swap me plaisait et celui ci me semblait sympa; et j'ai reçu mon premier colis ... Superbe! Grande générosité de ma swappée, Gaëlle (Lougo) , qui m'a je l'avoue beaucoup touchée ...
J'ai donc eu: Un sublime cordon-médaillon Frida Kahlo, une carte postale avec des lampes chinoises, du thé, un manga, un super marque-page qui s'ajoute à ma collection, et trois petits tableaux adorables qui forment un triptyque pour mon futur appart' ! et pour clore, un paquet de madeleines au chocolat ;)
Très contente de ce premier swap, en espérant du coup faire plus ample connaissance avec Gaëlle!
Coucou tout le monde!
Ça y est, à peine commencé et ce blog prend du retard ! Dans 3 jours je pars en Grèce et promis à mon retour je poste de nouveaux livres !
Bonnes vacances à tous !
Quatrième de couverture : Jamais un conte n'est vraiment innocent, ni tout à fait dénué de cruauté. En la personne de Nam, jeune Vietnamien depuis peu réfugié en France, la narratrice croit reconnaître le prince charmant. Ils sympathisent, se revoient, se confient, s'inventent un territoire secret. Mais quelque chose éloigne les gestes de l'amour: le beau garçon la traite comme une petite soeur. A quelque temps de là, elle accompagne ses parents au Vietnam, où ils retournent pour la première fois. Devant elle, née en France, élevée et protégée comme une fille unique, le rideau se déchire. Les secrets affleurent, les rencontres dévoilent les tragédies qu'ont connues les siens. Que Nam a laissées derrière lui, peut-être...
Mon avis : Un très joli conte qui m'a permit de franchir des limites géographiques que j'avais ignorées jusqu'alors en littérature, j'ai tout aimé : l'histoire, les légendes vietnamiennes qui parfument tout le livre, l'écriture ... Minh Tranh Huy est une écrivain que je suivrai.
Tout le monde connaît La Montespan, illustre favorite de Louis XIV. Mais son mari, personnage pourtant haut en couleur, est trop longtemps resté dans l'ombre. D'époux comblé, le Montespan devient la risée des courtisans lorsque le roi prend sa femme pour maîtresse. Il n'aura de cesse de braver l'autorité de Louis XIV et d'exiger de lui qu'il lui rende sa femme. Il fut en cela l'une des premières figures historiques à oser contester la légitimité de la monarchie absolue de droit divin.
Mon avis
Jean Teulé reprend ici une vérité historique et s'essaie à une "biographie". J'ai trouvé l'idée originale, le texte intéressant mais je ne sais pourquoi, je n'accroche pas à l'écriture de Jean Teulé, et à la fin de ma lecture je suis restée sur un avis assez mitigé. J'avais déjà lu un autre de ses ouvrages, Le magasin des suicides qui m'avais attirée par l'originalité de l'idée -l'histoire d'une famille qui tient un magasin vendant des articles pour se suicider- mais là aussi j'avais été déçue, car j'ai trouvé qu'il avait trop vite expédié l'histoire, qui malgré sa fraicheur et son humour, aurait pu être plus approfondi.
Quatrième de couverture : Plus que les autres romans de Kundera, celui-ci est un roman d'amour. Tereza est jalouse. Sa jalousie, domptée le jour, se réveille la nuit, déguisée en rêves qui sont en fait des poèmes sur la mort. Sur son long chemin, la jeune femme est accompagnée de son mari, Tomas, mi-don Juan, mi-Tristan, déchiré entre son amour pour elle et ses tentations libertines insurmontables.
Le destin de Sabina, une des maîtresses de Tomas, étend le tissu du roman au monde entier. Intelligente, asentimentale, elle quitte Franz, son grand amour genevois, et court après sa liberté, d'Europe en Amérique, pour ne trouver à la fin que «l'insoutenable légèreté de l'être».
En effet, quelle qualité - de la gravité ou de la légèreté - correspond le mieux à la condition humaine ? Et où s'arrête le sérieux pour céder la place au frivole, et réciproquement ? Avec son art du paradoxe, Kundera pose ces questions à travers un texte composé à partir de quelques données simples mais qui s'enrichissent constamment de nouvelles nuances, dans un jeu de variations où s'unissent récit, rêve et réflexion, prose et poésie, histoire récente et ancienne. Jamais, peut-être, chez Kundera, la gravité et la désinvolture n'ont été unies comme dans ce texte. La mort elle- même a ici un visage double : celui d'une douce tristesse onirique et celui d'une cruelle farce noire.
Car ce roman est aussi une méditation sur la mort : celle des individus mais, en outre, celle, possible, de notre vieille Europe.
Mon avis : J'ai beaucoup aimé ce roman à l'atmosphère si particulière, à ces personnages si étranges et si réalistes, c'est un livre qui m'a fait ressentir de belles émotions de lectures et qui force la réflexion .
" Qui cherche l'infini n'a qu'à fermer les yeux. " - Kundera .
Résumé : Monsieur Linh est un vieil homme. Il a quitté son village dévasté par la guerre, n’emportant avec lui qu’une petite valise contenant quelques vêtements usagés, une photo jaunie, une poignée de terre de son pays. Dans ses bras, repose un nouveau-né. Les parents de l’enfant sont morts et Monsieur Linh a décidé de partir avec Sang Diû, sa petite fille. Après un long voyage en bateau, ils débarquent dans une ville froide et grise, avec des centaines de réfugiés.
Monsieur Linh a tout perdu. Il partage désormais un dortoir avec d’autres exilés qui se moquent de sa maladresse. Dans cette ville inconnue où les gens s’ignorent, il va pourtant se faire un ami, Monsieur Bark, un gros homme solitaire. Ils ne parlent pas la même langue, mais ils comprennent la musique des mots et la pudeur des gestes.
Mon avis : Après Les Âmes Grises, P. Claudel me subjugue à nouveau par sa poésie, sa douceur, sa pudeur ... Un petit bijou digne des grands classiques.
"La nuit a fait éclore dans la ville des milliers de lumières qui scintillent et paraissent se déplacer. On dirait des étoiles tombées à terre et qui cherchent à s'envoler de nouveau vers le ciel. Mais elles ne peuvent le faire. On ne peut jamais s'envoler vers ce qu'on a perdu" Philippe Claudel
Quatrième de couverture :Tu veux ma mort, pensa le vieux. C'est ton droit. Camarade, j'ai jamais rien vu de plus grand, ni de plus noble, ni de plus calme, ni de plus beau que toi. Allez, vas-y, tue-moi. Ca m'est égal lequel de nous deux tue l'autre.
Qu'est ce que je raconte? pensa-t-il. Voila que je deraille. Faut garder la tête froide. Garde la tête froide. Garde la tête froide et endure ton mal comme un homme. Ou comme un poisson.
Mon avis :
Magnifique. Ce recit fait beaucoup reflechir sur la volonté de l'homme, ce qu'il est capable de faire. L'écriture est lente, suspendue, et ce conte se savoure de la première ligne à la dernière.
C'est le premier Hemingway que je lis mais pas le dernier !
Il y a une phrase dans la préface qui me semble très juste : “Il faut voir dans ce poeme epique, aux resonances bibliques et homériques, une parabole : celle de la victoire dans la defaite. C'est un theme cher à Hemingway. L'homme ne triomphe jamais tout à fait […] mais ce qui importe c'est l'effort pour braver le destin […] .”